Fin
juin, les Alliés sont maîtres de Cherbourg et
de sa rade.
De
bosquets en bosquets la progression américaine à
travers le Bocage normand est ausi harassante que meurtrière.
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L'aviation tourne au dessus de nous sans voir l'ennemi, mais
nous sentons qu'il est là. Notre position n'est pas bonne
et les démineurs s'activent à dégager le passage quand les
obus tombent sur nous. Plusieurs de nos gars sont touchés.
"